Russian water bombers/Bombardiers d'eau Russes

This meme floating around on Facebook implying that our Prime Minister is not a “true Canadian” because he refused an offer from Russia to use their giant water bombers on the Fort McMurray fire is pretty divisive and toxic.  Prime Minister Trudeau, whom I am usually only cautiously optimistic about, has done the right thing.  Those thinking he should have let the Russians in probably haven’t thought of the huge security risk it would have caused.  What if the Russians were doing double-duty as spies while they were here?  I don’t want Russian planes flying over Canada, even if they only are carrying water.  I certainly don’t want planes known as “bombers” from Russia here either!  Vladimir Putin does not do anything just to be a nice guy to his neighbours.  He usually wants something of greater value in return.  During his reign, Russia’s incursions into Canadian airspace and maritime territory have become more frequent.  Letting in their planes for firefighting is just inviting trouble.  The Prime Minister was wise to say no.  You can call me a Cold War relic or accuse me of not being a “true Canadian” (whatever that is), but you can’t accuse me of having no common sense on this question.

Ce « même » flottant autour sur Facebook ce qui implique que notre premier ministre n’est pas un «vrai Canadien» parce qu'il a refusé une offre de la Russie d'utiliser leurs bombardiers à eau géants sur le feu Fort McMurray est assez division et toxique. Le premier ministre Trudeau, que je suis généralement prudemment optimiste quant, a fait la bonne chose. Ceux pensant qu'il aurait dû laisser les Russes n’en ont probablement pas pensé à l'énorme risque de sécurité, il aurait causé. Et si les Russes faisaient double devoir comme des espions alors qu'ils étaient ici? Je ne veux pas des avions russes survolant le Canada, même si elles ne transportent l'eau. Je ne veux certainement pas des avions dits "bombardiers" de la Russie ici non plus! Vladimir Poutine ne fait rien juste pour être un bon gars à ses voisins. Il veut habituellement quelque chose de plus grande valeur en retour. Pendant son règne, les incursions de la Russie dans l'espace aérien canadien et le territoire maritime sont devenues plus fréquentes. Laisser dans leurs plans pour les pompiers est juste invitent ennuis. Le premier ministre était sage de dire non. Vous pouvez m’appeler une relique de la guerre froide ou me reprocher de ne pas être un «vrai Canadien» (quelle qu'elle soit), mais vous ne pouvez pas me reprocher de ne pas avoir le sens commun sur cette question.

Cinq observations de la société pour aujourd’hui

Sur la base de ce que je vois dans les nouvelles, ou ce qui se passe pour les nouvelles, je suis sûr que la fin du monde sera initié par Twitter, pas les armes nucléaires ou catastrophe environnementale.

Le téléphone mobile et de la nourriture à emporter sont les deux plus grandes menaces pour le progrès intellectuel. A l'université où j'étudie, il y a beaucoup trop de fois dans la bibliothèque. Dans la salle, là où je suis assis maintenant, je dois la vue d'un rebut 1 quart de jus de fruits carton quelqu'un juste laissé dans le couloir. Les étagères adjacentes sont utilisées comme des cabines téléphoniques.

Au Canada, notre gouvernement apporte des gens ici de la Syrie pour échapper à un gouvernement répressif. Canada également la vente de matériel militaire à l'Arabie Saoudite, qui a aussi un gouvernement répressif. Est-ce un sens?

Pantalon de jogging en public. Ceci doit se terminer. Nous sommes toujours à entendre parler de la façon dont les gens ont besoin de respect et d'affirmation. Pourquoi ne pas habiller comme ils ont un peu de respect pour eux-mêmes?

Dans mon quartier, les équipes de la ville ont fait le tour et placé des cônes de signalisation orange à côté de chaque nid de poule. Cela fait beaucoup de cônes. Pourquoi ne pas simplement sauter une étape et ne pas fixer les rues à la place? Les gens sont en cours d'exécution sur eux ou les enfants les volent.

Today's five observations of society

Based on what I see in the news, or what passes for news, I'm pretty sure the end of the world will be instigated by Twitter, not nuclear weapons or environmental catastrophe.

The mobile phone and take-out food are the two greatest threats to intellectual progress. At the university where I study, there is way too much of both in the library. In the room there where I am sitting now, I have plain view of a discarded 1 quart fruit juice carton someone just left behind in the corridor. The adjacent bookshelves are used as telephone booths.

In Canada, our government is bringing people here from Syria to escape a repressive government. Canada's also selling military equipment to Saudi Arabia, which also has a repressive government. Does this make any sense?

Jogging pants in public.  This has to end.  We’re always hearing about how people need respect and affirmation.  Why don’t they dress like they have some respect for themselves?

In my neighbourhood, city crews have gone around and placed orange traffic cones next to each pothole.  That’s a lot of cones.  Why don’t they just skip a step and fix the streets instead?  People are running over them or kids are stealing them.

Les nouvelles d'aujourd'hui

OAKVILLE, ON: La Ford du Canada a décidé d'honorer la maire décédé de Toronto. Un nouveau SUV pour l'année modèle 2017 sera appelé Rob Ford. Le véhicule aura un alignement qui tire vers la droite avec la direction et de transmission qui agit souvent de façon erratique. Caractéristiques de style spéciales comprennent un toit de vinyle blonde et silencieux en forme de pipe à crack.

MONTPELIER, VT: Le sénateur et candidat à la présidentielle Bernie Sanders devient une certaine reconnaissance dans son pays d'origine. Le gouverneur a annoncé aujourd'hui que Sanders est fait colonel honoraire de la garde nationale de l'État. Le gouverneur dit fièrement «Maintenant, Kentucky ne sera pas le seul État avec un colonel Sanders."

OTTAWA: Monument commémoratif de guerre du Canada dans le centre de la ville sera fermé pendant sept semaines d'entretien à partir de cette semaine. Les améliorations apportées au monument important comprennent l'ajout des dates de la "Turbot War" 1997, dans laquelle le Canada a mené une haute mer bras de fer avec l'Espagne au sujet de la surpêche de turbot au large des côtes de Terre-Neuve. Le premier ministre Trudeau promet de comparaître pour de nombreux selfies et de faire de nombreuses déclarations vides de sens lors du dévoilement du nouveau monument.

VILLE DE QUÉBEC: Premier ministre Philippe Couillard se retire et faire un changement de carrière important. Après des années de gens qu'il est vraiment penser la musique country interprète Kenny Rogers, Couillard a décidé de devenir un artiste hommage et interpréter des chansons de Rogers. Couillard envisage de faire ses débuts de performance cet été sur scène avec Dolly Parton, alors qu'elle en tournée au Québec. Lieux de la tournée comprennent Saint-Tite et des Deux Montagnes.

WILMINGTON, DELAWARE: DuPont Chemical poursuit les candidats présidentiels républicains Donald Trump et Ted Cruz. Le géant de la chimie est à la recherche de 10 milliards $ de chaque candidat, alléguant qu'ils ont à la fois des produits de DuPont utilisés sans autorisation. DuPont allègue que le visage de Cruz utilise des résines plastiques obtenues illégalement et que les cheveux de Trump est en fait un textile expérimental volé la société travaillait.

NEW YORK: Le réseau de télévision CBS est en train de changer le nom de l'un de ses plus longs programmes d'information et d'affaires publiques, les plus populaires. A partir de Septembre 2016, 60 Minutes, qui a été en cours d'exécution depuis 1968, deviendra connu sous le nom de 42 minutes. Le porte-parole de CBS Vapido Crapola dit que, parce que les publicités composent maintenant environ 18 minutes de l'heure moyenne de la télévision, le réseau a estimé qu'il était étendu aux téléspectateurs en leur faisant croire le programme contenait en fait 60 minutes de contenu. Le personnel envisage de réajuster le chronomètre qui apparaît tout au long du programme. Correspondant de longue date de Morley Safer n’est apparemment pas impressionnée.

Today's news headlines

OAKVILLE, ON: The Ford Motor Company of Canada has decided to honour the late Mayor of Toronto.  A new SUV for the 2017 model year will be called the Rob Ford.  The vehicle will have alignment that pulls to the right with steering and transmission that often acts erratically.  Special style features include a blonde vinyl roof and muffler shaped like a crack pipe.

MONTPELIER, VT: Senator and Presidential candidate Bernie Sanders is getting some recognition in his home state.  The Governor announced today that Sanders is being made an honourary colonel of the state’s national guard.  The Governor proudly said “Now Kentucky won’t be the only state with a Colonel Sanders.”

OTTAWA: Canada’s National War Memorial in the centre of the city will be closed for seven weeks of maintenance starting this week.  Improvements being made to the important monument include adding the dates of the 1997 “Turbot War” in which Canada waged a high seas standoff with Spain about overfishing of turbot off the Newfoundland coast.  Prime Minister Trudeau is promising to appear for numerous selfies and make many vacuous statements at the unveiling of the new monument.

QUEBEC CITY: Premier Philippe Couillard is stepping down and making a major career change.  After years of people thinking he is really country music performer Kenny Rogers, Couillard has decided to become a tribute artist and perform Rogers songs.  Couillard plans to make his performance debut this summer on stage with Dolly Parton while she tours Quebec.  Locations on the tour include Saint-Tite and Deux Montagnes.

WILMINGTON, DELAWARE: DuPont Chemical is suing Republican Presidential candidates Donald Trump and Ted Cruz.  The chemical giant is seeking $10 billion from each candidate, alleging they have both used DuPont products without permission.  DuPont alleges that Cruz’s face uses illegally obtained plastic resins and that Trump’s hair actually is a stolen experimental textile the company was working on.

NEW YORK: The CBS Television Network is changing the name of one of its longest-running, most popular news and public affairs programs.  Starting in September 2016, 60 Minutes, which has been running since 1968, will become known as 42 minutes.  CBS spokesman Vapido Crapola says that because commercials now compose about 18 minutes of the average hour of television, the network felt it was lying to viewers by making them think the program actually contained 60 minutes of content.  Staff plan to re-adjust the stopwatch that appears throughout the program.  Longtime correspondent Morley Safer is apparently not impressed.

Véhicules utilitaires sport ont pas leur place dans la ville

Je ne l'ai jamais été un fan personnel des véhicules du sport. Je ne ressens pas le besoin de posséder un. Ils sont parfaits pour ceux qui vivent dans le pays, et pour usage institutionnel et militaire bien. Je me suis toujours sorte de douce sur les citadins qui possèdent SUV aussi. Je l'ai souvent pensé qu'ils avaient besoin parce qu'ils doivent l'espace pour les enfants ou la tête hors de la ville le week-end à un chalet ou camp. Ma douceur a changé cet après-midi.

Les parcs de stationnement peuvent être des endroits à risque, non seulement pour les gens, mais pour les voitures aussi. Un incident dans un stationnement cet après-midi a alimenté le sentiment contre les véhicules du sport en moi. Je me suis garé ma voiture à un centre commercial local pour aller dans une pharmacie. Je avais besoin de vitamines et plus important encore, le chocolat de Pâques. Je suis retourné à l'extérieur et un homme manqué d'une autre entreprise de la place et m'a dit qu'il avait frappé ma voiture avec la porte de son. Son gros véhicule du sport noir était stationné trop près de ma voiture ordinaire à quatre portes de sorte qu'il ne devrait pas avoir été surpris que cela soit arrivé. Le véhicule du sport était presque trop grand pour l'espace de stationnement de toute façon. Je remerciai l'homme pour avoir la courtoisie de rester autour et de me dire ce qui était arrivé et de me donner ses coordonnées, puis allé à la maison. La réclamation d'assurance et de processus de réparation a depuis commencé.

Je ne pense pas que les véhicules du sport ont beaucoup de place dans des zones résidentielles urbaines. Je ne se soucie pas si vous avez des enfants et sont souvent occupés à les conduire aux sports et aux clubs. Il est tout aussi facile à installer six sacs d'épicerie dans une petite voiture. Et si vous régulièrement achetez le bois ou d'autres gros articles à partir d'un magasin de rénovation domiciliaire le plus d'entre eux livrer gratuitement ou d'offrir un van clients peuvent emprunter pour prendre leurs gros achats à domicile. Utilisez ces options à la place. Arrêtez les véhicules mieux adaptés pour un week-end de chasse, de pêche, ou camping-ou pour une utilisation par la police et les militaires d'entraînement et être pratique. La plupart des parcs de stationnement de la ville et les espaces en eux ces jours-ci ne sont pas faits pour les gros véhicules du sport. J'ai grandi dans une petite ville qui avait d'énormes espaces de stationnement. Vous pouvez monter un Chrysler Newport 1974 en eux. Ils ont été faits pour les personnes âgées avec de grosses voitures et les agriculteurs avec des camions de ramassage. Dans la ville, des places de stationnement sont faits pour Honda Civic et Hyundai Elantra. Et, si vous les citadins avec véhicules du sport sentent vraiment la nécessité d'avoir une voiture de la taille de l'USS Nimitz, s'il vous plaît regarder où vous allez dans les parcs de stationnement et lorsque vous ouvrez les portes, ne pas agir comme votre véhicule est là pour tout conquérir plus petit qui l'entoure.

Sport Utility Vehicles have no place in the city

I’ve never been a personal fan of SUV’s.  I don’t feel the need to own one.  They’re great for those who live in the country, and for institutional and military use though.  I’ve always been kind of soft on urbanites who own SUV’s too.  I’ve usually figured they needed them because they required the space for children or head out of town on the weekends to a cottage or camp.  My softness changed this afternoon.

Parking lots can be risky places, not just for people, but for cars too.  An incident in a parking lot this afternoon has fueled anti-SUV sentiment within me.  I parked my car at a local shopping plaza to go into a pharmacy.  I needed vitamins and even more importantly, Easter chocolate.  I returned outside and a man ran out of another business in the plaza and told me he had hit my car with the door of his.  His large black SUV was parked far too close to my ordinary four-door car so it should not have been any surprise that it happened.  The SUV was almost too big for the parking space anyway.  I thanked the man for having the courtesy of staying around and telling me what had happened and giving me his contact information and then went home.  The insurance claim and repair process has since commenced.

I don’t think SUV’s have much of a place in urban, residential areas.  I don’t care if you have children and are often busy driving them to sports and clubs.  It’s just as easy to fit six bags of groceries into a small car.  And if you routinely are buying lumber or other large items from a home improvement store—most of them deliver for free or offer a van customers can borrow to take their large purchases home in.  Use those options instead.  Stop driving vehicles better suited for a weekend of hunting, fishing, or camping—or for use by the police and military and be practical.  Most city parking lots and the spaces in them these days are not made for large SUV’s.  I grew up in a small town that had huge parking spaces.  You could fit a 1974 Chrysler Newport in them.  They were made for senior citizens with big cars and farmers with pickup trucks.  In the city, parking spaces are made for Honda Civics and Hyundai Elantras.  And, if you urbanites with SUV’s really feel the need to have a car the size of the USS Nimitz, please watch where you are going in parking lots and when you open the doors, don’t act like your vehicle is there to conquer everything smaller surrounding it.

Le dîner d'État Trudeau-Obama me donne l'indigestion.

Les médias d'entreprise est juste un peu hors de contrôle en ce moment. Ils agissent comme aucun premier ministre n'a jamais visité un président américain ou la Maison Blanche avant. Oui, il est vrai, nous avons maintenant un premier ministre ici qui aime réellement parler aux gens et semble être en mesure d'afficher l'émotion humaine, peut-être même de manière excessive à la fois, mais il est encore beaucoup mieux que le bloc de béton que nous avions en cours d'exécution des choses avant.

La flagornerie au sujet du premier ministre Justin Trudeau et le président Obama est juste un peu trop. Les premiers ministres canadiens ont été amis avec les présidents américains avant. Jean Chrétien et Bill Clinton étaient proches amis. Brian Mulroney et l'amitié de Ronald Reagan était emblématique. Pierre Trudeau se entendait bien avec Jimmy Carter et Gerald Ford, mais là encore, qui ne pouvait pas avoir obtenu avec des personnalités de facile à vivre comme les deux? Pierre Trudeau et Richard Nixon ne sont pas amis, mais compte tenu de leur personnalité et leurs méthodes, qui ne sont pas surprenants.

Lester Pearson et Lyndon Johnson étaient loin d'être sympathique, mais il était surtout LBJ de faire. Le brut souvent Johnson aurait saisi le diminutif, Pearson par le col et dit "vous pissé sur mon tapis," après que le premier ministre a prononcé un discours de guerre anti-Vietnam. Poursuivant sur le thème urinaire, LBJ est également répandu pour avoir commencé une session de pipi en plein air à la vue de Pearson alors qu'ils étaient la randonnée autour du ranch au Texas du président parle du Pacte de l'automobile en 1965, aussi bien au choc du premier ministre. Son éducation en tant que fils d'un ministre et de carrière plus tôt en tant que diplomate n’est pas probablement trop tolérant ou encourageant de pipi public.

John Diefenbaker et seul lien commun de John F. Kennedy était qu'ils avaient le même prénom. Mis à part cela, ils ne pouvaient pas se supporter. Ils étaient tous deux individus vains, mais Kennedy a fait vanité avec fanfaron, Dief a fait avec fanfaronnades. L'une était une élite sociale, l'autre populiste de la prairie. Diefenbaker n'a pas pris la crise des missiles de Cuba au sérieux et Kennedy n'a pas été impressionné. L'Amérique était prête pour WWIII. Il était juste un autre jour pour le Canada.

Pendant trois jours, les médias canadiens a été de donner une couverture non-stop de Trudeau II et Obama. Leur «relation spéciale» a été renvoyée à plusieurs reprises. Qu'est-ce que cela signifie exactement? On dirait qu'ils laissent leurs femmes pour l'autre et ne fonctionne pas sur des questions d'importance pour les Canadiens et les Américains.

Les références répétées au dîner d'Etat étant tenu ce soir à la Maison Blanche ne sont pas seulement la saccharine et excessive, ils sont collants et insultant. Le luxe, menu, et l'art derrière elle est complètement injustifiée compte tenu des problèmes économiques auxquels sont confrontés les deux pays en ce moment. Certains modestie serait un bien meilleur point de servir. Il y a des gens sans emploi. Il y a des gens avec une dette élevée. Je ne dis pas le dîner doit être hot-dogs et Kraft macaroni et fromage, mais un peu de réalisme et de compréhension des gens ordinaires serait un geste respectable. La couverture du dîner a jusqu'à présent dégagé un message «Qu'ils mangent de la brioche».

Combien des réalisations de cette visite colleront? Trudeau est au début de son mandat. Son gouvernement n'a même pas encore mis en place un budget. Obama, est quant à lui sur le dos neuf trous de sa présidence. Celui qui le remplace, en dehors d’Hillary Clinton, va avoir des approches très différentes et des priorités. Donald Trump pourrait facilement faire Justin Trudeau pleuré, je pense. Ted Cruz serait tout simplement lui dire repent de ses péchés. Bernie Sanders est beaucoup plus progressiste sur les questions économiques que Trudeau. Il est également assez vieux pour être son père.

Vraiment, je ne me soucie pas de ce qui a été servi lors d'un dîner d'État. Je ne me soucie pas de savoir qui était assis où et qui a parlé de quoi. Je ne me soucie pas de ce que Mme Obama ou Mme Trudeau portaient. Les dirigeants du monde se rencontrent tout le temps. Je veux juste qu'ils fassent modestement et d'obtenir l'entreprise pris en charge dans les meilleurs intérêts des citoyens de leurs pays respectifs.

The Trudeau-Obama state dinner is giving me indigestion.

The corporate media is just a bit out of control right now.  They’re acting like no Prime Minister has ever visited an American President or the White House before.  Yes, it’s true, we now have a Prime Minister here who actually likes talking to people and appears to be able to display human emotion, maybe even excessively so at times, but it’s still a lot better than the block of concrete we had running things before.

The gushy fawning about Prime Minister Justin Trudeau and President Obama is just a bit much.  Canadian Prime Ministers have been friends with US Presidents before.  Jean Chretien and Bill Clinton were close buddies.  Brian Mulroney and Ronald Reagan’s friendship was iconic.  Pierre Trudeau got along well with Jimmy Carter and Gerald Ford, but then again, who could not have got along with easy going personalities like those two?  Pierre Trudeau and Richard Nixon weren’t friends, but given their personalities and methods, that isn’t surprising. 

Lester Pearson and Lyndon Johnson were far from friendly, although it was mostly LBJ’s doing.  The often crude Johnson reportedly grabbed the diminutive, bow-tied Pearson by the collar and said “you pissed on my rug,” after the Prime Minister gave an anti-Vietnam war speech.  Continuing on the urinary theme, LBJ also is rumored to have begun an outdoor peeing session in full view of Pearson while they were hiking around the President’s Texas ranch talking about the Auto Pact in 1965, also much to the shock of the Prime Minister.  His upbringing as a minister’s son and earlier career as a diplomat were not likely too tolerant or encouraging of public peeing.

John Diefenbaker and John F. Kennedy’s only common bond was that they had the same first name.  Aside from that, they couldn’t stand each other.  They were both vain individuals, but Kennedy did vanity with swagger, Dief the Chief did it with bluster.  One was a social elite, the other a prairie populist.  Diefenbaker didn’t take the Cuban Missile Crisis seriously and Kennedy wasn’t impressed.  America was ready for WWIII.  It was just another day for Canada.

For three days, the Canadian media has been giving non-stop coverage of Trudeau II and Obama.  Their “special relationship” has been referred to over and over.  What exactly does this mean?  It sounds like they’re leaving their wives for each other and not working on issues of importance to both Canadians and Americans.

The repeated references to the state dinner being held this evening at the White House are not only saccharine and excessive, they are tacky and insulting.  The luxury, menu, and artistry behind it is completely unwarranted given the economic problems facing both countries right now.  Some modesty would be a much better item to serve.  There are people without jobs.  There are people with high debt.  I’m not saying the dinner should be hot dogs and Kraft Macaroni and Cheese, but a bit of realism and understanding of the ordinary people would be a respectable gesture.  The coverage of the dinner has so far given off a “Let them eat cake” message.

How much of the accomplishments of this visit will stick?  Trudeau is early in his mandate.  His government hasn’t even introduced a budget yet.  Obama, meanwhile is on the back nine holes of his Presidency.  Whoever replaces him, aside from Hillary Clinton, is going to have very different approaches and priorities.  Donald Trump could easily make Justin Trudeau cry I think.  Ted Cruz would just tell him repent of his sins.  Bernie Sanders is far more progressive on economic issues than Trudeau.  He’s also old enough to be his father.

I really don’t care about what was served at a state dinner.  I don’t care about who sat where and who talked about what.  I don’t care about what Mrs. Obama or Mrs. Trudeau wore.  World leaders meet each other all the time.  I just want them to do it modestly and get the business taken care of in the best interests of the citizens of their respective countries.

My hometown corporatized kiddieland.

I was really disappointed the other day when I read that my hometown had sold out to corporate sponsorship.  Town council accepted a $100,000 “donation” from Spinrite, the major yarn and craft textile manufacturer that has its factory and head office there, to the new municipal day care centre.  In return, council agreed to include Spinrite in the name of the new facility.

There’s nothing wrong with sponsorship and corporate donations.  In fact, more corporations should be doing this.  Spinrite probably could have donated more than $100,000 if it really wanted to.  What I don’t like is this shameless selling of the names of public facilities to whoever comes along with the biggest cheque.  Stingy is the best word I can find to describe the budgetary and decision making habits of the council in my hometown.  Its members have always seemed to give the impression that ones highest calling in life is to live as cheaply as possible.  $100,000 is a pretty cheap carrot for a company to dangle before the eyes of the perpetually frugal.

It’s true, Spinrite is one of the biggest employers in town.  Many of the employees likely make use of the public day care centre.  However, in a world where the lives of children are commercialized from the moment they’re born, whether it be through the manufacturers of disposable diapers and baby bottles to every mass market toy baring the evidence of Disney, do we really need the logo of a company on a place that should be set aside for children to be cared for, for them to play, and for their creativity to be encouraged?

There’s a labour component to my complaint too.  It’s mostly rooted in history.  Spinrite was for years owned and operated by one of the wealthiest families in town.  This really created an “us and them” social structure.  A structure like this is much more tolerable in a large city, but in a small town in the prairie-like farm country, it’s a lot more noticeable.  Although the company is now a publicly-traded one, it still looks to me like the paternalistic old-money class throwing crumbs at those less privileged.  The factory was also known for its hot and dangerous working conditions and an extreme dislike for even the slightest talk about union organization.  Having a corporate name on a public facility reminds me too much of the old days of company towns where workers were stuck living in a place owned by their employer.

The local press really dropped the ball on this story.  Nobody asked the hard questions about corporate sponsorship, selling the name of a public facility to whoever showed up with a fat cheque, and is it socially responsible to have a place for the community’s children under the influence of corporate branding?

The coldest weekend

The bitter cold this weekend has been a cruel shock during an otherwise warm winter.  I was positive that steel would become brittle and we’d see vehicle axles split and highway sign posts snap like toothpicks.

My parents are visiting.  Yesterday, we were out doing some shopping and it seemed as though the other customers did not want to leave the warmth of the store.  People were taking extra time looking at what kinds of cookies or cereal to buy.  Car tires have felt square for the first mile or so after heading down the road. 

This morning at church, almost everyone kept their coats on, even while indoors.  I’ve never witnessed this before in a city church.  It was a pretty common occurrence though where I grew up.  Well-dressed people would stay covered in a layer of wool or some kind of stuffed fabric after they reached their pews.  It’s an old church in the country and it gets draughty around the windows.  At the cavernous place in the city where I worship, the air was crisp this morning, even though I’m positive that the furnace in the basement was probably doing its best to keep up with the temperature.  It even got colder by the end of the service and some people had put their coats on.  Fortunately there were no baptisms today.  I’ve never seen a baptism before where ice had to be broken in the font.

We went over to the farmer’s market after church.  The parking garage was the warmest place there.  The old Aberdeen Pavilion was almost just like the outdoors, except without wind.  Every vendor was wearing a coat and a hat.  About a third of them didn’t even show up.  A lot of them drive over an hour to be there.  Cars won’t start, doing farm chores on a freezing morning is more challenging too.  Returning to bed, sitting by the woodstove, or laying on a couch under blankets is a better alternative on days like that.  There was no risk of the pork chops I bought thawing out on the way home.

We’ve stayed inside ever since.  Mom made a great roast beef for dinner.  We’ve done a few household tasks.  She and Dad are watching TV.  I’m writing this post.  We’re waiting for a heat wave.

The Super Bowl.

I’m not a fan of North American football at all.  Aside from an initial kickoff, I can’t understand why it’s even called football anyway, especially when the players seem to just run around holding the ball or throwing it to each other with their hands.  I have serious issues with the National Football League too.  The biggest is the fact they don’t pay any federal taxes in the United States because back in 1966, they were able to persuade some friendly Congressmen to have them designated a charitable organization.  Of course, football is pretty much a secular religion in the United States, and churches don’t pay taxes either!  I also have really big issues with professional sports players who make millions of dollars a year for playing a game that really should just be for fun, not a job.  Meanwhile, there are full-time workers who are still not earning enough to be able to afford a place to live, food to eat, and health care.

                I’ve only ever watched a Super Bowl game in its entirety once.  A few years ago, a friend decided to have a few guys over to watch it.  He and his wife were recently married.  We arrived at their house and she left for work.  Now they have two children and another on the way.  I don’t live near them anymore and the other guys who were at the party are married now.  I’m going to guess that there’s no Super Bowl party happening at any of their houses.  The invitation to the party was funny enough.  The subject line in the email said “Super Bowel Party.”  I figured this was a spelling mistake, at least I hoped it was.  However, one can never tell since the average Super Bowl party menu consists of spicy chicken wings, chili, and beer.

                 Once the game started, we increasingly found ourselves not paying much actual attention to what was happening in it.  There were instead a lot of jokes about what the players, coaching staff, and fans were possibly really thinking.  It does seem rather odd that in such a conservative sport like football, men spend a lot of time patting each other on the rear end.

                And then there’s the half-time show.  These have become memorable over the years.  I believe it was the Black Eyed Peas who performed during the game I watched.  I don’t particularly like their music anyway.  To me, a football half time show still has to be good old fashioned marching bands or a drum and bugle corps.  Those who remember Super Bowls of the 1970’s and early 1980’s will of course remember the recurring appearances of Up With People doing their massive song and dance performances.  Up With People are just way too happy and out of character for a tough guy sport like football.  I always got the impression that their fans were young Nixon supporters whose parents listened to Percy Faith and whose grandparents were groupies of Lawrence Welk.

                Even non-fans like me can find the cultural ritual of Super Bowl fandom amusing to observe.  It’s become a part of North American culture.  On Sunday afternoon, living rooms, basement rec rooms, bars, and even some churches will attract crowds of people wanting to watch the game.  There will be occasional waves of cheering or booing from the assembled.  Television viewers will be unsure if they should watch the always one of a kind commercials or rush to the bathroom and become participants in the collective flushing of toilets and resulting peak usage of sewer systems everywhere.  

Tom Lehrer and True Dough Mania

When people buy a gift for themselves, it’s usually something expensive and excessive.  No, not me.  I bought a vintage comedy album.  I found An Evening Wasted with Tom Lehrer at a store that sells an amazing selection of videos and albums in Stratford, Ontario over the holidays.  I first learned about Professor Lehrer (yes, he’s a retired professor of mathematics and musical theatre at both Harvard University and the University of California—Santa Cruz), when I was in broadcasting school and my instructor—who grew up in Massachusetts during the height of Lehrer’s popularity mentioned him one day.  A Youtube search followed and I’ve been a fan ever since. 

Tom Lehrer, now 87, is probably the funniest mathematician to ever grace his discipline.  I wish I’d had him as a teacher in high school, I may have actually passed the courses.  This man of numbers is also a pianist and started writing satirical songs in the 1950s.  Topics included contemporary ironies within the realm of civil rights, religion, politics, and otherwise taboo subjects of the time involving sex and crime.  The Lehrer repertoire includes memorable tunes like Poisoning Pigeons in the Park, National Brotherhood Week, Oedipus Rex, The Vatican Rag, and a nostalgic look at a not so wholesome upbringing in My Hometown.  This particular album, recorded live at Harvard sometime in the late 1950’s is still funny today.  It keeps me laughing.

A couple of months ago, my sister gave me this piece of obscure Canadian political satire.

  True Dough Mania is a board game parody of the government of Prime Minister Pierre Elliott Trudeau, father of Justin Trudeau, the current occupant of that office.  The first player to lose all of their assets and money in the game to the government is the winner.  The game was released in 1982 when Pierre Trudeau’s leadership was near its end and facing growing unpopularity, quite the opposite from the “Trudeaumania” accompanying his arrival in office in the late 1960s.  The worthless fake money in the game; True Dough dollars, are amusing.

  Could we soon see similar notes with Justin’s face on them valued at 0.71 cents US?  Will a Canadian video game developer, or university student with nothing better to do soon come up with an electronic version of True Dough Mania?

Lessons learned at a sad time.

My grandfather died eight days ago.  He had been so ill for so long, so his death was not a complete surprise, but it is still a sad experience.  He was a great gentleman, mentor, and a lot of fun.  The saddest days are over.  Visitation, funeral service, flowers and cards have all had their usual places in the grieving process.  I don’t want this to turn into an obituary though.  That has already been written and published on a funeral home website, in a newspaper, and read over a local radio station.  Instead, I want to talk about things I learned and observed during the past week.

My hometown is not entirely rotten.  I’ve been overtly critical of the place where I grew up and have lived most of my life.  True, I dislike a lot of its traits, but I love a lot of the people there, and I even find some of the more bizarre traits amusing.  I concluded that if one has to spend four days dealing with death, a small town is the best place to do it.  Caring and praying people are easier to know in places like that, it takes little time at all for a concentration of them to appear when needed most.  There was profound proof of this in the wonderful support shown by so many people through their calling by the house, bringing food because we didn’t feel like cooking, or helping with the organization and unexpected logistics the situation caused.  About 70 people visited the open house held by my parents.  We would have been lost without the help from church ladies who looked after catering and a dentist who gladly allowed guests to leave their cars at his parking lot.  I walked around my hometown one day and was quite thankful to be in a place where friends and neighbours do these kinds of things.

I would be hiding the truth or lying if I didn’t admit there are some incredibly unpleasant, belligerent, and outright toxic relations among extended relatives in the branch of the family affected by this recent loss.  Knowing this, some wonderful people who are not actual relatives were there without question to assist and offer support beyond imagination.  There is the couple who drove an hour to pick me up at the airport, took me to a restaurant for lunch, and helped my family every day, even accompanying my tired parents on the long car trip when they returned me to my Gatineau home.  There are friends who have had similarly bad relationships in their own extended families that provided support.  There is a couple who drove four hours to be there for the weekend and had routinely visited my grandfather and prayed for him daily during his difficult final decade.  Another couple drove two hours from their cosy vacation home on Georgian Bay to visit on Saturday.  For what I lack in extended family, I am richly blessed with what I call my “family of choice.”  These are people who over 25 years of my family being connected with the same small community, have become friends of infinite value.  I am so thankful that each of these people have made the choice to be friends of my family and I, and that we in turn chose each of them as our friends.  I love my family of choice and even made sure I said that during my remarks at the funeral service.  Many of these people had also become my grandfather’s family of choice over the recent years too.  Each of them enriched his life and I hope he enriched each of theirs.

During the four sad days at home, I was again reminded that children bring hope of life continuing when the life of someone old has ended.  At the funeral service, my niece, occasionally referred to in this blog as Buttercup, accompanied her sad Grandma and Grandpa when they made their remarks.  Just seeing a happy little girl reminded me that youth is evidence of the continuum of life.  A thoughtful staff member at the care facility my grandfather had been living in gave my Mom a small, carved, wooden bird to remember my grandfather.  Mom told Buttercup the bird had no name and she responded with “How about Joy?”  What a perceptive and thoughtful three year-old to come up with that!  I told her that her Uncle James was sad because his Papa was gone and she said “I know.”  Anyone who thinks children don’t understand situations involving death is very mistaken.

Buttercup’s six year-old brother, Mr. Six was no different, but offered some entertainment as well.  While his sister and grandparents were at the front of the funeral chapel for their remarks, I saw his head appear from under the chair next to mine.  He smiled and then began to inch his way like a caterpillar across the floor to the lectern where the other three were standing.  Normally, this sort of behaviour would have been stopped immediately by supervising adults, but on that sad day, it made us all happy to see a happy little boy enjoying life.  Later on, Mr. Six and I were looking at old photos of our late Papa.  He especially liked the ones of his curly mustache and the one where he is sitting in an old wheelbarrow having a drink by an outdoor garbage fire.  Mr. Six made me cry a bit when he started talking about those because they were reminders of Papa’s love for life and his eccentricity.  I hugged him and told him I loved him.  Mr. Six responded; “I love you too Uncle James.”  The innocence and positivity of small people is large and powerful.

Ontario still backwards on beer sales.

Ontario residents can finally be trusted to buy beer and food in the same place, albeit still with intricate restrictions that continue to characterize the backwards booze laws of the province.

Just before Christmas, selected supermarkets in selected locations began selling beer.  The catch there is that the locations were carefully selected and limited to six packs which may only be sold during the hours of when the local locations of The Beer Store (the virtual retail beer monopoly owned by three corporate brewers) are open for business.  The government touted this move as a great liberalization of alcohol sales.  It really isn’t.  The restrictions will still have beer drinkers in southern Ontario heading to Quebec, New York, or Michigan for better prices and selection.  Wine and liquor sales, aside from sporadic distillery or winery-owned stores, are still firmly under the control of the Liquor Control Board of Ontario (LCBO). 

Yesterday, the Alcohol and Gaming Commission announced that non-alcoholic “artisan” products can now be sold in stores owned by individual craft breweries.  Apparently the Ontario government could not previously trust anyone to buy both a bag of cheese curd or bottle of maple syrup and beer at the same time.  Small business owners who produce these products are of course quite pleased, but there is a significant measure of irony in the commission’s decision.  For years, the owners of independent convenience and variety stores in Ontario have wanted to be able to sell beer in their shops.  Their demands have never been met and there’s no sign of that changing soon.  The argument always was that selling beer in variety stores could make it too easy to sell it to those who are under the legal age or are already drunk when making the purchase.  That argument makes no sense since just about every variety store in Ontario sells cigarettes.  It’s against the law to sell those to anyone under 19 and there is a pretty hefty body of evidence showing smoking is not a healthy activity.

Allowing a local maple syrup producer or cheese company to have its products in the shops of craft breweries is basically allowing beer to be sold in small shops with a variety of goods, but not explicitly in variety stores.  This is extremely unfair to the independent convenience store owners who want to sell beer in their shops.  Is there really any difference between selling craft beer beside locally produced cheddar or sausage and selling beer from a big corporate brewery next to jugs of milk or potato chips?  The Ontario government’s changes to regulations on beer sales are not progressive at all.  They are simply a continuation of the decades-old method of ensuring unfair competition between retailers and enforcing alcohol sales through complicated and convoluted means.

La fin des vacances.

Les vacances sont finies. Après deux semaines de la famille et les amis loin de là où je vis et travaille normalement, le moment est venu de revenir à mon autre maison. 4 janvier 2016 sera sans doute un retour à la vie normale pour la plupart des gens. Alors que je conduis dans la moitié sud de l'Ontario de retourner à Ottawa et de Gatineau, les enfants seront en poupe bus jaunes ou en marchant le long des trottoirs enfin enneigées à l'école. Leurs enseignants, et toute autre personne qui a eu différentes mesures de temps de vacances au cours des deux dernières semaines seront dans leurs voitures ou sur les bus et les trains qui retournent au travail. Je suis impatient à un retour à la vie normale. Rien ne commence une nouvelle année meilleure que la vivre et de travailler comme un moyen de mettre les résolutions en action.

La fin de la saison des fêtes prend généralement la forme d'un fondu à la normale. Décorations de Noël sont prises dans les maisons avec des arbres étant disposés dans des méthodes allant d'un voyage à la décharge municipale, des feux de joie, ou tout simplement d'être laissés à l'extérieur comme un habitat pour les oiseaux d'hiver. Les enfants sont les ennuyer et agité, mais réticents à admettre qu'ils manquent de l'amitié et de l'école de stimulation intellectuelle apporte. Une visite avec M. Six cet après-midi a confirmé cette observation. Les centres commerciaux sont déserts. Peu de gens sensés se sentent comme acheter quelque chose d'autre après près de deux mois de la célébration axée sur la consommation. Les températures ont finalement tourné froid, un chiffon humide, trop froid mordant. Ceci est resté à l'intérieur et regarder la télévision au temps de nuit. Ce matin, à l'église, la saison de Noël était techniquement toujours en vigueur, mais en chantant des chants de Noël à côté d'un décor, d'épinettes imposantes sentait maladroit, même si elle était pleinement dans les paramètres du calendrier de l'église. Je suppose que cela soit la preuve le monde séculier n’a encore aucun contrôle sur la religion.

Les deux derniers jours complets des vacances ont été bien dépensés pour moi. Un lecteur de randonnée a été prise le samedi qui a commencé avec quelques arrêts dans la ville natale (il ya quelque chose de sain à obtenir un calendrier gratuit à partir d'un magasin local de matériel), puis nous nous sommes dirigés au nord. En chemin, nous avons visité un magasin de liquidation qui est en quelque sorte un sanctuaire dédié à la culture économe de cette région. L'entrepôt géant sur la propriété d'un ancien silo à grain a été entouré par les véhicules de chasseurs de bonnes affaires. A l'intérieur, l'équivalent de la fièvre de l'or pour le pas cher avait lieu. Les mères et les épouses ont été fouillant dans les poubelles à la recherche de vêtements pour leurs maris et leurs enfants. Un homme a été ardemment lorgne boîtes bosselées sur une étagère dans l'allée de l'épicerie. Je regardais avec lassitude à l'étagère des médicaments et des articles de soins personnels. Souhaitez-vous acheter une bouteille de sirop contre la toux pas dans une boîte en carton et de manquer le sceau de sécurité sur le bouchon?

De la terre de la liquidation nous avons procédé au nord vers le parc provincial MacGregor Point, sur le lac Huron. Peu après son arrivée, nous avons rencontré des amis et le plaisir commence. Dans un monticule entouré de cèdres avec une vue sur la rive, un incendie a été faite. Le café a été brassée, la soupe a été chauffé, et sandwichs au fromage grillé. Chansons ont été chantées et composées. Une promenade à travers les bois et les camps d'hiver douillet suivi. Ce fut un après-midi d'hiver en plein air parfait avec un retour à la maison content.

Je devais ma dernière visite de vacances avec ma sœur et sa famille aujourd'hui. Comme je l'ai dit auparavant, les enfants étaient agités. Ils ont besoin d'un retour à la première année et l'école maternelle. Les biens qui me restaient dans toute la maison de mon parent et les nouveaux I obtenus au cours des deux dernières semaines ont été arrêtés ce soir et la plupart ont été mis dans la voiture de sorte que le voyage peut commencer plus facilement dans la matinée. Je l'espère, il est un lecteur bon retour sur la route de la vie quotidienne normale après ce qui était vraiment un séjour heureux.

The end of holidays.

The holidays are finished.  After two weeks of family and friends far from where I normally live and work, the time has come to return to my other home.  January 4 2016 will without doubt be a return to normal life for most people.  While I’m driving across the southern half of Ontario returning to Ottawa and Gatineau, children will be riding yellow busses or walking along finally snow-covered sidewalks to school.  Their teachers, and anyone else who has had varying measures of holiday time over the past two weeks will be in their cars or on busses and trains returning to work.  I am looking forward to a return to normal life.  Nothing begins a new year better than actually living and working as a way of putting resolutions into action.

The end of the holiday season usually takes the form of a fade to normalcy.  Christmas decorations are taken down in homes with trees being disposed of in methods ranging from a trip to the municipal landfill, bonfires, or simply being left outside as a habitat for winter birds.  Children are bored and restless, but reluctant to admit they miss the friendship and intellectual stimulation school brings.  A visit with Mr. Six this afternoon confirmed this observation.  Shopping centres are deserted.  Few sensible people feel like buying anything else after nearly two months of consumption-driven celebration.  The temperatures have finally turned colder, a damp, chilling cold too.  This is stay inside and watch television at night weather.  This morning in church, the Christmas season technically was still in effect, but singing Christmas carols next to a decorated, towering spruce felt awkward, even if it was fully within the parameters of the church calendar.  I suppose it is proof the secular world still has no control over religion.

The last two full days of the holidays were well spent for me.  A rambling drive was taken on Saturday that began with a couple of stops in the hometown (there’s something wholesome about getting a free calendar from a local hardware store) and then we headed north.  Along the way we visited a liquidation store that is somewhat of a shrine to the thrifty culture of this region.  The giant warehouse on the property of a former grain elevator was surrounded by the vehicles of bargain hunters.  Inside, the equivalent of gold fever for the cheap was taking place.  Mothers and wives were scavenging through bins, looking for clothing for their husbands and children.  A man was eagerly eyeing dented cans on a shelf in the grocery aisle.  I looked wearily at the shelf of medicines and personal care items.  Would you buy a bottle of cough syrup not in a paper carton and missing the safety seal on the cap?

From the land of liquidation we proceeded north towards MacGregor Point Provincial Park on Lake Huron.  Soon after arriving, we met friends and the fun began.  In a knoll surrounded by cedars with a view of the shore, a fire was made.  Coffee was brewed, soup was heated, and cheese sandwiches grilled.  Songs were sung and made up.  A walk through the woods and cosy winter camps followed.  It was a perfect outdoor winter afternoon with a contented trip home.

I had my final holiday visit with my sister and her family today.  As I said before, the children were restless.  They need a return to first grade and nursery school.  The belongings I had left throughout my parent’s house and the new ones I obtained over the past two weeks were rounded up this evening and most were put into the car so the trip can more easily begin in the morning.  I hope it’s a safe drive back on the road to normal, everyday life after what was really a happy holiday.

Le changement d’année.

Pour moi, 2015 fini beaucoup plus comme il a commencé, en compagnie d'amis et la famille de sa ville natale. 31 décembre se composait d'un voyage à proximité d'une petite ville et la navigation dans une librairie, puis le thé dans un café voisin. Puis ce fut au cours de la maison de soins infirmiers à visiter mon grand-père malade. Visites avec Papa ne sont pas faciles. Il ne peut pas marcher et la conversation a été entièrement basée sur les événements, les gens et les lieux du passé. Les meilleurs visiteurs de chose peut faire est de simplement monter avec amusement. Hier, il a demandé qu'une réunion soit mise en place avec quelqu'un de la Colline du Parlement pour faire face à une situation non précisée. Allemands ont également été déplacés apparemment dans la maison de soins infirmiers. Ceci est techniquement vrai qu’il y a beaucoup de noms allemands sur les portes des chambres, et l'installation est affiliée à l'église luthérienne. La semaine dernière, mon frère-frère était premier ministre du Canada par intérim. Après avoir souhaité le vieux patriarche de la famille bien-aimée une Bonne Année, je me rendis chez des amis le long du chemin de la maison à leur souhaiter la même chose. Une pinte de Labatt 50 et quelques noix de bière à la saveur à deux heures de rires.

J'y ai rencontré des amis pour le dîner du réveillon du Nouvel An dans un restaurant populaire dans un village voisin. L'influence allemande est forte dans la cuisine locale ici, donc je commandé une escalope de porc qui était d'environ trois pieds carrés avec un bol de choucroute sur le côté. Pour faire bonne mesure, je commandai une bière d'une brasserie Est de l'Ontario. Je ne peux pas supporter lager-même si elle est un appariement plus authentique pour les escalopes. Le parti a déménagé à une maison d'amis dans une ville voisine après. Plus de gens sont arrivés, tous que je connais depuis de nombreuses années et a été très heureux de voir à nouveau. Presque tous ont eu une sorte de connexion à la ville où je grandi et ai appelé ma maison de famille depuis 25 ans. Jeux ont été joués, la nourriture a été mangé, histoires et des blagues racontées. Conservateurs amis ingénieurs et un fonctionnaire politique poliment encore avec humour tolérés ma défense de Bernie Sanders, mais nous sommes tous d'accord sur la folie de Donald Trump et le drame exagérées entourant Justin Trudeau. Je ne veux pas être trop tard pour en revenir à mes parents lieu. Il était près de une heure de route, la neige tombait, et je ne voulais pas être sur la route quand les routes étaient pleines de crétins de conduite en état d'ébriété. Après son retour d'un autre ami à son domicile, je me suis félicité 2016 relatifs silences avec juste le bruit du moteur de la voiture et les pneus sur une route rurale. Je le klaxon à quelques reprises à minuit. Peut-être que ceux qui dans leurs chambres ou du bétail dans les étables adjacentes vie ferme remarqué.

Une nouvelle année n’est pas de changement drastique. Il est à propos de faire le point sur les priorités de la vie et de l'amélioration de ce que nous faisons déjà. Certains vont décider de perdre du poids. D'autres vont essayer d'arrêter de fumer. Une attitude plus confiante, joyeuse et positive est mes plans pour 2016. Ce ne sont pas des résolutions déraisonnables. Ils vont permettre à d'autres choses qui sont déjà une partie de la vie quotidienne pour avoir de meilleurs résultats. Il y aura des moments de difficulté et de frustration, et le premier jour de la nouvelle année avaient déjà sa part de ceux pour moi. Cela ne signifie pas que les 12 prochains mois vont être une catastrophe. La vie ne continue seulement aussi bon que l'attitude de la personne vivant-il. Je ne suis pas à croire ces prédictions stupides pour l'année à venir rendu par une variété de soi-disant experts.

Le premier jour de l'année 2016 a également apporté une grande quantité de joie. Je visitais ma sœur et sa merveilleuse famille et a joué avec M. Six et Buttercup que je l'aime tellement. Je suis allé faire une promenade pour visiter ma grand-mère solitaire et personnes âgées. Je marchais à travers un parc couvert de neige dans une ville que je l'ai été relié à 25 ans et je me sentais amusé par la façon dont il y a une plaque sur chaque structure dans le parc qui a été fait comme un don parce que les citoyens réfléchis croyaient qu'il était nécessaire et le conseil municipal était trop pas cher de construire quoi que ce soit de leur propre chef. Parcs et espace naturel obtiennent traditionnellement moins d'attention dans les villes où les temples séculaires pour le hockey et le baseball sont en forte demande. Je marchais sur un pont donné par la veuve d'un ancien propriétaire de la concession Ford, puis le long d'un chemin construit dans la mémoire d'un pharmacien fin qui passe par un petit jardin à la mémoire d'un ancien membre du conseil de loisirs et son épouse. Plus loin, il y avait un banc de parc donnant sur la rivière, le nettoyage, l'emplacement naturel étant chargé avec ironie que le banc a été donné en mémoire de l'homme qui a couru une fois le dépotoir de la ville.

2016, nous l'espérons être une amélioration par rapport à 2015. Je veux mettre l'accent, la confiance, et gai, positif, de la détermination. Ce sont des résolutions impossibles difficiles, mais pas.

Bonne année!

The change of year.

2015 ended for me much as it began, in the company of hometown friends and family.  December 31 consisted of a trip to a nearby small city and browsing through a bookstore and then tea at a nearby café.  Then it was over to the nursing home to visit my ailing grandfather.  Visits with Papa are not easy.  He cannot walk and the conversation was entirely based on events, people, and places from the past.  The best thing visitors can do is just ride it out with amusement.  Yesterday, he demanded a meeting be set up with someone from Parliament Hill to deal with an unspecified situation.  Germans were also apparently moving into the nursing home.  This is technically true as there are many German surnames on the doors of the rooms, and the facility is affiliated with the Lutheran church.  Last week, my brother-in-law was Acting Prime Minister of Canada.  After wishing the beloved old family patriarch a Happy New Year, I called on some friends along the way home to wish them the same.  A pint of Labatt’s 50 and some beer nuts brought flavour to two hours of laughs.

I met some friends for New Year’s Eve dinner at a popular restaurant in a nearby village.  The German influence is strong in local cuisine here so I ordered a pork schnitzel that was about three square feet with a bowl of sauerkraut on the side.  For good measure, I ordered an ale from an Eastern Ontario brewery.  I can’t stomach lager—even if it’s a more authentic pairing for schnitzel.  The party moved to a friend’s home in a nearby city after.  More people arrived, all of whom I’ve known for many years and was quite happy to see again.  Almost all of them had some kind of connection to the town where I grew up and have called my family home for 25 years.  Games were played, food was eaten, stories and jokes told.  Conservative engineer friends and a political functionary politely yet humourously tolerated my defence of Bernie Sanders, but we all agreed on the insanity of Donald Trump and the overblown drama surrounding Justin Trudeau.  I didn’t want to be too late getting back to my parents place.  It was nearly an hour’s drive, some snow was falling, and I didn’t want to be on the highway when the roads were full of drunk driving twits.  After returning another friend to his home, I welcomed 2016 in relative silence with just the sound of the car engine and the tires on a rural highway.  I sounded the horn a few times at midnight.  Maybe those in their farmhouse living rooms or livestock in adjacent barns noticed.

A New Year is not about drastic change.  It’s about taking stock of life’s priorities and improving upon what we already do.  Some will decide to lose weight.  Others will try to quit smoking.  A more confident, cheerful, and positive attitude are my plans for 2016.  These are not unreasonable resolutions.  They will enable other things that are already a part of daily life to have better results.  There will be times of difficulty and frustration, and the first day of the new year already had its share of those for me.  This does not mean the next 12 months are going to be a disaster.  Life only goes as good as the attitude of the person living it.  I’m not one to believe those silly predictions for the year ahead as made by a variety of so-called experts. 

The first day of 2016 also brought a great amount of joy.  I visited my sister and her wonderful family and played with Mr. Six and Buttercup whom I love so much.  I went for a walk to visit my lonely and elderly grandmother.  I walked through a snow-covered park in a town I’ve been connected with for 25 years and felt amused by how there is a plaque on every structure in the park that was made as a donation because thoughtful citizens believed it was necessary and the town council was too cheap to build anything on their own.  Parks and natural space traditionally get less attention in towns where secular temples for hockey and baseball are in high demand.  I walked over a bridge donated by the widow of a late Ford dealership owner and then along a path built in memory of a late pharmacist that passes by a small garden in memory of a former recreation board member and his wife.  Further along, there was a park bench overlooking the river, the clean, natural location being loaded with irony as the bench was donated in memory of the man who once ran the town garbage dump.

2016 will hopefully be an improvement upon 2015.  I want focus, confidence, and cheerful, positive, determination.  These are challenging, but not impossible resolutions.

Happy New Year!